Il est actuellement impossible, à l'issue d'une thérapie ou d'un traitement, de définir les circonstances dans lesquelles un patient colérique saura – ou non – contenir ses élans agressifs ou de déterminer si un délinquant sexuel parviendra ou pas à se contrôler et à ne pas agresser une victime ou récidiver. La réalité virtuelle pourrait constituer la clé permettant de prédire à la fois les comportements de personnes délinquantes et l'efficacité des thérapies auxquelles elles ont pris part. C'est ce qui émane des travaux de recherche fondamentale et appliquée auxquels participe Massil Benbouriche, chargé de cours à l'École de criminologie de l'Université de Montréal et coordonnateur des activités du laboratoire Applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale de l'Institut Philippe-Pinel de Montréal (IPPM).
Fuente : http://www.alphagalileo.org/ViewItem.aspx?ItemId=1...
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